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lundi, 19 mars 2018

Saint-Denis (93) : des clandestins et des militants d’extrême-gauche envahissent la basilique, la messe du dimanche soir annulée

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

Le collectif Coordination des sans-papiers a investi le lieu de culte pour protester contre le projet de loi « Asile Immigration » du gouvernement. Ils ont été évacués par les forces de l’ordre.

Environ 80 personnes ont investi la Basilique de Saint-Denis ce dimanche vers 15 heures en soutien aux migrants et sans-papiers. Le collectif Coordination des sans-papiers a déployé une banderole pour dénoncer le projet de loi « Asile – Immigration » porté par le gouvernement. […] Après plus d’une heure, les manifestants ont été évacués par la police. Un homme, qui s’opposait à l’entrée des fonctionnaires, a été arrêté. Le cortège s’est alors rendu devant le commissariat, en présence du député (FI) Eric Coquerel. Suite à l’incident, la Basilique a été fermée vers 17h30, sous la vigilance d’un fourgon de police pour s’assurer que les manifestants ne reviennent pas. La messe du dimanche soir a été annulée. […]

Le Parisien

L’article Saint-Denis (93) : des clandestins et des militants d’extrême-gauche envahissent la basilique, la messe du dimanche soir annulée est apparu en premier sur Fdesouche.

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

jeudi, 04 janvier 2018

A Madrid, l’extrême gauche au pouvoir remplace la parade des Rois Mages par un défilé LGBT

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier2018

 

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Espagne – Par décision du président du Conseil (élu du parti d’extrême gauche Podemos), la parade des Rois Mages du quartier madrilène de Vallecas sera remplacée par un défilé de « reines mages » organisé par le lobby LGTBQI.

Les trois « reines » choisies par le lobby LGBTQI sont une drag queen, une danseuse de cabaret et une fille issue du milieu « hip hop ».

Un char plein de couleurs, de paillettes, décoré avec le drapeau arc en ciel du lobby homosexuel, sur lequel seront juchées les trois « reines » en question, voilà le programme qu’a prévu l’extrême gauche au pouvoir.

La provocation antichrétienne est évidente. La célébration traditionnelle des Rois Mages venant rendre hommage à l’Enfant-Jésus fera place à un défilé façon gay pride.

Pour compléter, la provocation blasphématoire, la Sainte Famille sera remplacée par « une famille diversifiée de deux mamans, qui sont en couple, avec leurs jumeaux et les enfants d’une école de danse, entre autres ».

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 08 novembre 2017

Nantes : et encore un moralisateur arrêté pour viol, directeur d’une « maison de quartier » grassement financée par la gauche…

Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2017

 

Oui, le vent semble tourner, et la « libération de la parole des femmes » au sujet des viols éclaboussent totalement les habituels distributeurs de moraline.

Presse Océan nous informe dans son édition du 3 novembre que Moustapha Rahmani, 47 ans, directeur de la maison de quartier des Dervallières – la plus importante de Nantes – a été arrêté pour viols, agression sexuelle, harcèlement sexuel et moral d’au moins six femmes, toutes ayant travaillé sous ses ordres. Il avait été suspendu le 12 octobre suite aux premiers dépôts de plaintes. Il y était entré comme animateur à 18 ans en 1987 et y a fait carrière, devenant directeur de la Maison de quartier du Breil en 2008 puis de celle des Dervallières en 2012. Jean-Marc Ayrault, du temps où il était maire de Nantes, saluait son « travail remarquable ».

Rappelons que la maison de quartiers des Dervalllières est un haut lieu de propagande régimiste, financé à hauteur de 20 millions d’euros par an. Le journal internet Breizh Info donne plus de précision dans un article du 5 novembre :

« La presse locale évoque le sujet avec précautions, voire à mots couverts, en évitant de citer le nom de l’intéressé. C’est que cette figure montante des milieux municipaux avait entrepris depuis quelques années de se faire une réputation de grande conscience morale. En 2014, il accueillait aux Dervallières l’exposition itinérante et militante « Zoos humains, l’invention du sauvage », créée par la Fondation Lilian Thuram, Éducation contre le racisme et participait lui-même à une table ronde avec Lilian Thuram et l’historien Pascal Blanchard, vieux militant de la cause tiers-mondiste. En 2015, toujours dans son établissement municipal, il recevait une autre table ronde à l’occasion des Semaines d’éducation contre les discriminations organisées par la FAL 44. Il y intervenait aux côtés de Jessy Cormont, co-auteur avec Saïd Bouamama du Dictionnaire des dominations. « J’attache beaucoup d’importance aux fondamentaux de l’engagement militant », déclarait-il au journal de quartier local Couleur locale alors que son établissement fêtait son 50ème anniversaire, début 2017. Il acquérait aussi ses galons d’intellectuel en publiant avec une enseignante de l’Université de Nantes un article intitulé « Contributions de médiations (inter)culturelles pour créer des innovations artistiques et managériales » dans Remac ‑ Revue de Management et Cultures. Il y proclamait la nécessité de « densifier des liens de valeurs entre différentes formes de culture et les individus ». »

Sur sa page Facebook, il montre sa proximité avec l’association d’extrême gauche Amnesty international. Décidément, des gens « très bien » ces tenants du nouvel ordre moral…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 06 avril 2017

La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ? L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée

Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2017

4 avril 2017

Nous recevons de notre consœur Irène Dimopoulou, Directrice du journal EMPROS, cet article interpellant.

La Gauche organise-t-elle une guerre civile en Grèce ?

L’assaut de l’extrême gauche sur le quartier général de l’Aube Dorée

Le gouvernement d’Alexis Tsipras, se voit démuni chaque jour dans les sondages. Malgré le soutien populaire reçu dans deux élections, en février et en septembre 2015, et le NON majoritaire de plus de 60% des voix lors du référendum de juillet 2015, contre les mesures de l’ infâme « Mémorandum », SYRIZA, formé par une coalition d’organisations de la Gauche radicale, n’a pas pu tenir ses promesses pour une sortie du pays du programme d’austérité imposé par le Fonds Monétaire International et la Banque Centrale Européenne. Avec le taux de sans emploi montant à 23 % de la population, (plus de 45 % chez les jeunes), et les salaires et pensions taxés à un tiers, le parti gauchiste cherche à consolider sa base électorale qui lui échappe. Selon les sondages, SYRIZA serait en troisième position derrière son prédécesseur au pouvoir, le parti du Centre-droit, Nouvelle Démocratie, alors que la droite nationaliste de l’Aube Dorée qui se trouve en troisième position a cimenté une base électorale de 7 à 10% qui monte à 15% et même 19% dans certaines régions du pays.

Ayant déjà souffert deux départs de cadres et députés, dont l’ex-présidente du parlement grec, qui ont ensuite fondé des partis gauchistes contre l’euro et l’adhésion du pays à l’Union Européenne, SYRIZA, cherche à rattraper le territoire perdu. Il devrait donc polariser le climat pour retenir ses adhérents, en soulignant son profil anti-patriotique, anti-droite, anti-nationaliste et en même temps soutenir ses groupuscules qui se nourrissent de jouer à la guérilla urbaine.

Il est évident, par exemple, que la lutte en faveur des immigrés clandestins est dans les mains d’un groupuscule de l’extrême gauche, dit ANTARCIA (Mutinerie), qui soutient toute action pro-islamiste et anti-identitaire. Le ministre de l’intérieur, a même répondu au parlement que les « jeunes gens » qui détruisent systématiquement la propriété publique, ne seraient interpelés « que s’ils dépassaient certaines limites », qu’il ne voyait pas, évidemment, dépassées par les incendies et les cocktails molotov lancés contre des véhicules du transport public, par exemple.

C’est dans ce climat que le matin du 31 mars 2017 à 9h30, des hommes masqués et portant des massues ont attaqué la siège de l’administration centrale d’Aube Dorée a la rue Mesogeion, juste en face de l’école de Police, et a quelques mètres du ministère de l’intérieur.

L’attaque s’est déroulée en pleine heure de pointe sur la grande avenue Mesogeion. N’ayant pas pu forcer l’entrée blindée de l’immeuble, les assaillants ont endommagé la librairie-boutique d’Aube Dorée, au rez-de-chaussée, aspergeant aussi la façade de peinture rouge.

La police arrivée sur les lieux une bonne dizaine de minutes plus tard, a interpellé onze personnes mais les a finalement relâchées. Des militants du groupuscule ANTARCIA, également sympathisants de SYRIZA, comme le président de la communauté Pakistanaise, sont des témoins au procès en cours contre l’Aube Dorée, initié en septembre 2013, après son ascension dans les sondages qui, selon le Secrétaire du gouvernement de la Centre-Droite de l’époque, « lui enlevaient des votes »…

Il est également intéressant de noter que la date choisie pour une attaque contre la seule voix politique et militante des nationalistes en Grèce, qui revendique la victoire des forces nationales contre l’ insurrection communiste, dite « guerre civile » qui finira avec la victoire des forces patriotiques en 1949, n’est autre que celle de l’ attaque des communistes contre la Gendarmerie de la ville de Litohoro, tuant 9 gendarmes et deux soldats. L’attaque avait signifié le début de la guerre civile…

Faisant preuve de leur esprit combattant, des militants Aube Dorée ont organisé le 1er avril, une action politique au centre du Pirée ainsi qu’au quartier d’Ampelokipi, près de siège du parti, avec grand succès, distribuant des centaines de documents d’information imprimés aux passagers, qui les ont reçus avec enthousiasme.

Contre le terrorisme et la dictature ténébreuse des médias, l’Association Populaire Aube Dorée poursuit son activité politique légitime.

IRENE DIMOPOULOUDirectrice du journal EMPROS

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 17 février 2017

Nouvelle manifestation contre la police à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2017

Une nouvelle manifestation a eu lieu ce mercredi soir sous l’invitation du site d’extrême Gauche IAATA. Elle n’a rassemblé que quelques dizaines de personnes mais a entraîné la fermeture de la station de métro St Cyprien et une forte mobilisation policière. Le défilé s’est dirigé jusqu’à Arnaud-Bernard, encadré par la BAC et les policiers en tenue.

Les manifestations de soutien à Théo ne prennent toujours pas à Toulouse. Après avoir rassemblé 300 personnes samedi, une nouvelle édition s’est tenue hier soir ne rassemblant qu’une cinquantaine de personnes. A l’appel du site d’extrême gauche IAATA, le rassemblement a débuté timidement à 18 heures dans le quartier Saint-Cyprien, entonnant quelques slogans bien connus : « Flics : violeurs, assassins » ou encore « un flic, une balle, justice sociale ».

Le quartier était bouclé et la station de métro du quartier fermé par crainte de débordements. La préfecture de police a mobilisé plusieurs dizaines de fonctionnaires pour sécuriser les lieux. Certains sont en tenue anti-émeute, d’autres en civils ou en moto. La décision de ne plus desservir la station Saint-Cyprien a été prise par la Préfecture, redoutant  « que les manifestants s’engouffrent dans le métro pour se déplacer anarchiquement dans la ville ». Le cortège s’élancera finalement sur les allées Charles de Fitte, rejoignant le centre-ville par le pont des Catalans. Bien entouré par les forces de l’ordre, la manifestation s’est dispersée dans le calme après quelques contrôles d’identité préventifs.

 

Source : infos-toulouse